1 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
1 n politique. Ce qui est nouveau, c’est de le voir défendu par ceux-là mêmes dont la fonction serait de l’attaquer, d’où qu’il v
2 e, admirable sursaut d’une liberté blessée qui se défendait , mais aussi d’un espoir exigeant qui attaquait, est en train d’avorte
3 endant l’Europe, il s’agit donc de savoir si nous défendons plus et mieux que de belles ruines, des préjugés sociaux, et des habi
4 e sais quel nationalisme européen qu’il nous faut défendre l’Europe, mais au seul nom de l’humanité la plus consciente et la plu
5 l’Europe elle-même. La seule manière possible de défendre l’Europe, c’est de la faire, donc de nous fédérer. 1. Voir L’Espri
2 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
6 tés et son autonomie, qu’il serait hors d’état de défendre seul contre la pression des grands empires qui le menacent. Chacune d
7 ne ne sera pas l’œuvre des gouvernants chargés de défendre les intérêts de leur nation contre le reste du monde. La fédération s
8 Tradition et le Progrès, qui prétendent également défendre la liberté. Et ce ne sont pas non plus la Justice et la Liberté, qu’i
9 n chaque jour moins convaincante d’une gauche qui défend la contrainte et d’une droite qui revendique les libertés : le but, l