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ar les rivalités nationalistes et la misère. À ce
défi
, nous ne pouvons pas répondre en nous jetant simplement dans les bras
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et de la pratique politique des Suisses. C’est le
défi
que représente l’esprit totalitaire, qui les force à faire aujourd’hu
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vent du scepticisme. Chaque nation serait mise au
défi
de donner le meilleur d’elle-même, à sa manière et selon son génie. A
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s comme des créations de l’esprit, insensible aux
défis
toujours renouvelés de la réalité toujours changeante, bref : hors du