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es unes aux autres, suppriment sur tous les plans
frontières
et visas, renoncent au dogme meurtrier de la souveraineté absolue, cr
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linguistiques, religieux, qui n’ont pas les mêmes
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, et qui se recoupent de cent manières différentes. Il est clair que d
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ue est l’heure de vol. Il médite sur la carte des
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, dont les réseaux de l’air ne tiennent pas compte. S’il posait son at
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re partout sa recherche, ne saurait s’arrêter aux
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d’un pays. Voilà donc le fédéralisme. L’opposition Il semble à premiè
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qu’elle est, pessimiste et divisée, encombrée de
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qui l’empêchent de respirer, menacée à chaque instant d’une sorte d’h
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urons, ne nous rendrait pas davantage la vie. Nos
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, nos cordons douaniers, suffisent à empêcher nos biens de circuler, m
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usion de la nation et de l’État, fixant les mêmes
frontières
rigides à des réalités culturelles, linguistiques, économiques et adm
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à devenir des divisions mortelles. Tandis que les
frontières
étatiques cloisonnent l’Europe verticalement, les idéologies et les p
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nt dans la paix de ma campagne franco-suisse. (La
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est à douze cents mètres. À chaque passage, je renouvelle in petto l’
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usion de la nation et de l’État, fixant les mêmes
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rigides à des réalités culturelles, linguistiques, économiques et adm
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à devenir des divisions mortelles. Tandis que les
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étatiques cloisonnent l’Europe verticalement, les idéologies et les p