1 1948, Suite neuchâteloise. I
1 je repasse en express, n’est plus que les quinze dernières minutes, la dernière cigarette d’une nuit mal dormie, le moment de re
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2 es, qui s’exercèrent sur notre Suisse romande aux derniers siècles.   Je note pourtant que l’un des traits qu’ont en commun pres
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3 é de longues boucles noires, j’ai lu ses lettres. Dernière d’une lignée très catholique, elle cachait ses messages au fiancé sui
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4 . Jeu de hasard, ou de télépathie. J’avais écrit, dernière question : — Qu’est-ce que le style ? Catherine, la fille de Gide, lu
5 ue le style ? Catherine, la fille de Gide, lut sa dernière réponse : — L’originalité de mon père. Gide s’éclaircit la voix pour
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6 mais il était surtout celui d’Œil de faucon et du Dernier des Mohicans de mon enfance. Je le trouvais bien beau. Pourquoi l’ai-