1 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
1 ui peut être plus dangereux que l’inaction totale vous glissez, plus utopique que le maintien du statu quo, plus follem
2 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
2 lacer, et qui a su remplacer toutes les autres. D’ vient, Messieurs, que le cap de l’Asie ait dominé le monde pendant de
3 ’Asie ait dominé le monde pendant des siècles ? D’ , sinon d’un pouvoir d’invention et de dépassement du destin dont nous
3 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
4 iste ne saurait être tolérable que dans la mesure elle reste impuissante — d’où le refus d’un Parlement européen ; secu
5 que dans la mesure où elle reste impuissante — d’ le refus d’un Parlement européen ; secundo : que les champions d’un r
6 s les plus dangereux de l’unité européenne », — d’ le refus de toute Autorité politique supranationale. Cet ami de l’uni
7 sans démasquer sa vraie nature. Car dans le fait, sont nos souverainetés ? Qui les a vues depuis quelques décades ? Qui
8 e que Londres avait dévalué. Je cherche en vain : sont encore les souverainetés de nos États, quand l’armée et l’économ
4 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
9 er ? Vous pouvez passer outre, et jurer de rester vos parlements vous envoient. (Les ministres dépendent aussi de vos p
10 mée rouge. D’une part, on peut penser qu’au point nous en sommes, il n’y a presque plus rien à perdre. Que risquez-vous