1 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
1 ns inverse de ses revendications de liberté et de progrès , devenues purement verbales et routinières. Quand on lui vante la lib
2 la liberté, — c’est-à-dire la remise en marche du progrès en Occident — cela ne se fera pas en un an, ni même en deux ou trois.
2 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
3 pour nous convaincre que cette perte-là serait un progrès , un espoir neuf, — pour nous faire croire en somme qu’une liberté est
4 ns les « républiques soviétiques ». Je cherche le progrès . C’est chez nous que je le trouve. Autre exemple : la liberté de l’ex
5 dira qu’il n’est pas très efficace ? Mais le seul progrès qu’on m’offrirait, dans un régime totalitaire, serait de m’ôter ce de
3 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
6 aurons mesurées, nous verrons que l’avenir et le progrès sont de notre côté. Et alors, nous voudrons sauver notre présent !
7 qui sent par lui-même. Et cet homme est le but du Progrès , le but de toute communauté digne du nom. La personne J’en vien