1 1953, La Confédération helvétique. Chapitre I. Le peuple et son histoire
1 sous la foi du serment. Le contraire d’un pouvoir établi par la force, le contraire de l’impérialisme d’un homme, d’un groupe
2 les voudraient attaquer à tort. Après que l’on a établi l’équité de la cause et l’outrage reçu, le canton intéressé peut requ
3 es. Il ne s’agissait nullement, à cette époque, d’ établir une égalité juridique et théorique entre tous les citoyens, comme le
4 ainqueur du Sonderbund, fondait la Croix-Rouge et établissait son comité international à Genève, le Conseil fédéral consacrait des
2 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
5 office deux années de suite, et la coutume s’est établie d’une rotation entre les sept conseillers : chacun devient président
3 1953, La Confédération helvétique. Chapitre III. Institutions et aspirations économiques
6 génération, la main se formait, des traditions s’ établissaient , qui subsistent encore au xxe siècle, et se manifestent par un certa
7 iffre d’affaires. La plupart de ces sociétés sont établies sur un plan international, et la moitié des primes qui leur sont payé
4 1953, La Confédération helvétique. Chapitre IV. La famille et l’éducation
8 stitution de 1848 autorisait la Confédération à «  établir une Université et une école polytechnique ». Il est remarquable que s
5 1953, La Confédération helvétique. Chapitre V. La vie religieuse
9 ne. Au ive siècle, une communauté chrétienne est établie à Genève, Bâle est déjà le siège d’un évêché, de même que Martigny en
10 eau en 1656, les cantons protestants finiront par établir leur prépondérance au terme de la « seconde guerre de Villmergen », e
11 n 1847 (Guerre du Sonderbund) qu’ils réussiront à établir le régime de paix religieuse sous lequel vit l’actuelle confédération
6 1953, La Confédération helvétique. Chapitre VI. Le peuple suisse et le monde
12 ir assez dit, dans les chapitres précédents, pour établir en toute clarté que la Suisse n’est pas une nation, au sens que le te