1 1953, La Confédération helvétique. Note de l’auteur
1 ge, écrit en mars 1949, fait partie d’une série d’ études sur les nations modernes, entreprise sous la responsabilité de la Con
2 onsabilité de la Conférence permanente des hautes études internationales, dans le cadre du programme de l’Unesco. L’un des but
3 mon manuscrit au nom de la Conférence des hautes études . Je suis heureux d’avoir pu tenir compte de leurs très compétentes ob
2 1953, La Confédération helvétique. Chapitre III. Institutions et aspirations économiques
4 te disposition : ces deux « voyants » adonnés à l’ étude des mystères et des mythes, en tirent tous les deux des techniques de
5 dustrie sont devenues organiques. Les « bureaux d’ étude  » jouent un rôle essentiel dans toutes les grandes entreprises du pay
6 i poursuivent leurs recherches dans les bureaux d’ études . Nous avons déjà mentionné les plus fameuses de ces entreprises, la N
7 tés professionnelles) fait actuellement l’objet d’ études et de discussions nourries, tant du côté patronal que du côté de l’av
3 1953, La Confédération helvétique. Chapitre IV. La famille et l’éducation
8 ici au secteur privé (kindergarten ou instituts d’ études secondaires fréquentés surtout par des étrangers). Quant aux établiss
9 ubdivisions. On compte aujourd’hui quatre types d’ études conduisant au baccalauréat : le type A (langues anciennes), le type B
10 e politique. Le nombre élevé des établissements d’ études supérieures36 dans un si petit pays, et leurs solides traditions loca
11 commerciale de Saint-Gall, l’Institut des hautes études internationales de Genève : soit onze établissements de rang universi
4 1953, La Confédération helvétique. Chapitre VI. Le peuple suisse et le monde
12 problème spécifiquement suisse a donné lieu à des études aussi nombreuses que peu concluantes dans leur ensemble, les unes che