1 1953, La Confédération helvétique. Chapitre I. Le peuple et son histoire
1 ld, considérant la malice des temps et afin de se défendre et maintenir avec plus d’efficace, ont pris de bonne foi l’engagement
2 romet de venir à son aide en cas de besoin, de la défendre à ses propres frais contre les entreprises de ses ennemis, et de veng
3 oin de solidarité : il fallait se grouper pour se défendre contre l’extérieur. Mais à l’intérieur même de la fédération, l’espri
2 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
4 l’étatisme et à la tendance centralisatrice. Ils défendent les droits des cantons contre Berne. À ce titre, et par un curieux gl
5 grarien s’est formé aux dépens des radicaux, pour défendre les droits des agriculteurs dans les cantons où le parti catholique e
3 1953, La Confédération helvétique. Chapitre V. La vie religieuse
6 épendent de Rome. Du point de vue politique, elle défend la traditionnelle liberté des cantons, car elle y voit la garantie la
4 1953, La Confédération helvétique. Chapitre VI. Le peuple suisse et le monde
7 e de 1939-1945, le gouvernement suisse accepta de défendre les intérêts de 43 États belligérants sur le territoire de leurs enne
8 mage de l’avenir européen, même lorsqu’elle croit défendre simplement ses intérêts et son niveau de vie. Liée plus que toute aut