1 1953, La Confédération helvétique. Chapitre I. Le peuple et son histoire
1 r l’empereur de garder libre ce passage, et de le protéger contre les grands vassaux qui convoitaient de s’en assurer le contrôl
2 re, c’est-à-dire de l’Europe entière dont il faut protéger le cœur, pendant que ses membres souffrent et s’entredéchirent. Les p
3 insi que les gardes suisses furent les derniers à protéger Louis XVI contre l’émeute populaire, le 10 août 1792, et se firent pr
4 veille de la guerre, restait vide, battant neuf, protégé par des canons antiaériens et des sentinelles au fusil chargé. Cepend
5 s dans le granit, ses dépôts d’approvisionnements protégés par une épaisseur de mille mètres de rochers et de glaciers. Ainsi la
2 1953, La Confédération helvétique. Chapitre III. Institutions et aspirations économiques
6 conclues à l’étranger. La Confédération elle-même protège et réglemente le régime des assurances, exerce un contrôle légal sur
3 1953, La Confédération helvétique. Chapitre VI. Le peuple suisse et le monde
7 que fut souvent à l’Allemagne ; du moins l’a-t-il protégée dans une large mesure contre la centralisation exercée par Paris. Lit
8 l’éventualité d’une attaque sur le point qu’elle protège . Cette mission de grand-garde au cœur même de l’Europe — d’abord phys