1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 aire aux mœurs traditionnelles — la femme se voit élevée au-dessus de l’homme, dont elle devient l’idéal nostalgique — et nais
2 le que Tristan, après la mort de ses parents, fut élevé à la cour du roi Marc son oncle. Or il était fréquent, chez les plus
3 amille maternelle, soit… des druides96. » Tristan élevé par Marc, son oncle maternel, devient ainsi, en vertu du fosterage, l
4 ise consiste à se plaindre « d’aimer en lieu trop élevé  ». Les érudits commentent : le pauvre troubadour, de basse extraction
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
5 remière. Elle a cru pouvoir « expliquer » le plus élevé par le plus bas, la mystique pure par la passion humaine. Elle a fond
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
6 e allemand. La mort est le but idéal des « hommes élevés  » de la Loge invisible de Jean-Paul. Elle se confond avec l’amour che
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
7 ux impossibles, se transforment en une chose plus élevée  : l’action entreprise par amour. La mort devient alors la seule alter
8 tradition chevaleresque dans ce qu’elle a de plus élevé et de plus fou retrouvera un dernier prestige. Voyez Condé empanaché
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
9 es adolescents de la bourgeoisie occidentale sont élevés dans l’idée du mariage, mais en même temps se trouvent baignés dans u
10 formes de naturisme, les « fiançailles d’essai » élevées au rang de coutume normale parmi les étudiants, le sérieux accordé au