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oncordance établie par M. Joseph Bédier (dans son
étude
sur le poème de Thomas) entre les cinq versions du xiie siècle : Bér
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era d’ailleurs si l’on tient compte de l’état des
études
arabisantes à son époque. Des travaux plus récents ont décrit en déta
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importants sur le catharisme ont paru récemment :
Études
manichéennes et cathares, par Déodat Roché (1952) ; Le Catharisme, pa
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contemporains les plus vitalement intéressés à l’
étude
du catharisme (voir ses Études manichéennes et cathares, 1952, et Le
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ment intéressés à l’étude du catharisme (voir ses
Études
manichéennes et cathares, 1952, et Le Catharisme, 1938), insiste lui
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ue courtoise sont précises. Lucie Varga, dans une
étude
sur Peire Cardenal (ou Cardinal), l’un des derniers troubadours (Peir
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e certains poèmes des troubadours comme sources d’
études
sur l’hérésie. Elle cite, à l’appui, des vers de Peire Cardenal qui r
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erme ». 79. L. De la Vallée-Poussin, Bouddhisme,
Études
et matériaux, 1898. 80. Eliade, op. cit., p. 210 et 212. 81. Id.,
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Lumière du Graal, 1951, recueil d’une vingtaine d’
études
par des auteurs divers), René Nelli formule quelques observations qui
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p. cit., II, p. 243-244. 97. Voir l’intéressante
étude
de M. Alexandre Haggerty-Krappe sur la Légende de « Tannhäuser » (Mer
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sations ne se révèlent plus décevantes que dans l’
étude
des mystiques. Comme l’a fort bien noté J. Baruzi (Saint Jean de la C
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Fauriel venaient de provoquer la renaissance des
études
romanes.) « Singulière civilisation », dit-il. Et il rêve un peu là-d
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int : R. P. Lavaud, « L’idée divine du mariage »,
Études
carmélitaines, avril 1938, p. 186. Le sacrement catholique se justifi
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le plus important depuis la Réforme. Voir aussi l’
étude
d’Henry Corbin sur la Sophia éternelle, in Revue de Culture européenn