1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 t bientôt prise. Tristan propose de « gerpir » en Bretagne . Auparavant, ils iront voir Ogrin l’ermite pour obtenir son pardon — 
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
2 ous les peuples d’origine celtique, du fond de la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mineure. Les voyages et le
3 . Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de Bretagne — derniers refuges des légendes bardiques conservées justement par le
4 géographique et historique qui va de l’Inde à la Bretagne , nous constatons qu’une religion s’y est répandue, d’une manière à vr
5 d de Strasbourg utilise à son gré la « matière de Bretagne  », et catharise le mythe de l’amour-pour-la-mort avec une liberté don
6 manichéisant le milieu créateur de la matière de Bretagne  », écrit Anitchkof (Joachim de Flore, p. 291) après avoir insisté sur
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
7 s the ear »… Il avait étudié pour son Histoire de Bretagne la chronique arthurienne et ses légendes. Et dans le De doctrina chri