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nous tentent maintenant : l’une remonte vers les
arrière-plans
historiques et religieux du mythe, — l’autre descend du mythe jusqu’à
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e indo-européen se dessine comme en filigrane à l’
arrière-plan
des hérésies du Moyen Âge. Si nous embrassons le domaine géographique
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sives mais qui se superposent ou se combinent à l’
arrière-plan
de nos conduites élémentaires ; de complexes ignorés mais d’autant pl
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re ces deux extrêmes illustrés par le mythe sur l’
arrière-plan
psychique et religieux du xiie siècle, toutes les confusions de l’am
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r s’il n’y avait que cela, ce serait alors tout l’
arrière-plan
religieux de la légende qu’il faudrait nier ou négliger, en dépit de
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olence sauvage de la légende, et encore moins son
arrière-plan
ésotérique. Ce qui revit en lui, c’est l’état d’âme créé chez les imi