1
al aime au moins autant ce qui détruit que ce qui
assure
« le bonheur des époux ». D’où peut venir une telle contradiction ? S
2
ui se fit jongleur errant, et dont les romanistes
assurent
que les poèmes sont « vides de pensée » : n’y trouve-t-on pas la déma
3
ont elles, par malheur, qui ont le plus fait pour
assurer
le succès de l’ouvrage dans un large public pressé. Comme il arrive.)
4
ation de Guiraut Riquier est exacte. On peut s’en
assurer
en lisant cette phrase d’Ælius Donatus (commentaire sur Térence, ive
5
ans sa Préface lorsqu’il écrit : « Ce que je puis
assurer
, c’est que je n’ai point fait de tragédie où la vertu soit plus mise
6
e : c’est peut-être qu’il est plus « naïf », plus
assuré
de la réalité de son au-delà. Voyez-les se reprendre sans cesse aux f
7
ucune espèce de sens valable, il suffit pour s’en
assurer
d’imaginer l’impuissance absolue où se trouvent les clients de cette
8
« On combat toujours à cheval, couvert d’armes et
assuré
de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des vaincus est presqu
9
age, c’est-à-dire la durée, il serait normal d’en
assurer
les conditions. Mais ces réformes n’auraient que peu d’effet dans un