1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 al aime au moins autant ce qui détruit que ce qui assure « le bonheur des époux ». D’où peut venir une telle contradiction ? S
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
2 ui se fit jongleur errant, et dont les romanistes assurent que les poèmes sont « vides de pensée » : n’y trouve-t-on pas la déma
3 ont elles, par malheur, qui ont le plus fait pour assurer le succès de l’ouvrage dans un large public pressé. Comme il arrive.)
4 ation de Guiraut Riquier est exacte. On peut s’en assurer en lisant cette phrase d’Ælius Donatus (commentaire sur Térence, ive
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
5 ans sa Préface lorsqu’il écrit : « Ce que je puis assurer , c’est que je n’ai point fait de tragédie où la vertu soit plus mise
6 e : c’est peut-être qu’il est plus « naïf », plus assuré de la réalité de son au-delà. Voyez-les se reprendre sans cesse aux f
7 ucune espèce de sens valable, il suffit pour s’en assurer d’imaginer l’impuissance absolue où se trouvent les clients de cette
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
8 « On combat toujours à cheval, couvert d’armes et assuré de la vie lorsqu’on se rend prisonnier… La vie des vaincus est presqu
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
9 age, c’est-à-dire la durée, il serait normal d’en assurer les conditions. Mais ces réformes n’auraient que peu d’effet dans un