1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 et leur mort ». Ils s’avouent leur amour et ils y cèdent . (Notons ici que le texte primitif, suivi par le seul Béroul, limitai
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
2 est relative à la vie même, non à l’esprit. Elle cède au succès obtenu. Elle ne cherche rien au-delà. L’eugénisme d’un Lycu
3 e, la bru et la belle-mère. Les prêtres eux-mêmes cèdent à la tentation. Les églises sont désertes et tombent en ruines… Les p
4 « Prenez garde ! Prenez garde ! Voici que la nuit cède au jour ! ») Mais Tristan répond, lui aussi : « Qu’éternellement la n
5 omme contre Dieu — sitôt qu’on aura décidé de lui céder . (Ce paradoxe annonce l’amor fati de Nietzsche.) Quand Béroul limitai
6 amour sans aimer selon la courtoisie (ici Minne), céder à la sensualité purement physique, voilà le péché suprême, originel,
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
7 de ; Il ne faut point nourrir d’amour qui ne nous cède  : Je le hais s’il me force : et quand j’aime, je veux Que de ma volon
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
8 passions nationales, provisoirement apaisées, le céderont pendant quarante ans aux entreprises du capitalisme et du commerce. L
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
9 dre social où les obstacles se sont dégradés. Ils cèdent trop vite, ils cèdent avant que l’expérience ait abouti. Sans cesse,
10 acles se sont dégradés. Ils cèdent trop vite, ils cèdent avant que l’expérience ait abouti. Sans cesse, il faut recommencer ce