1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 ui peut le sauver. Mais le géant Morholt était le frère de cette reine, aussi Tristan se garde-t-il d’avouer son nom et l’ori
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
2 se donnait, lors des cérémonies d’initiation, aux frères qui acceptaient de renoncer le monde, et s’engageaient solennellement
3 « purs », puis le baiser de paix échangé par les frères . Après quoi, l’initié devenait objet de vénération pour les simples c
4 ur est dans l’angoisse : c’est que tout ce que le frère me refuse, j’entends la sœur me l’octroyer. » D’autre part, Rudel « d
5 recherches, dans les procédures dressées par nos frères , je n’ai pas trouvé que les hérétiques « consolés » se livrassent en
6 Pierre de Bruys jusqu’à un Amaury de Bène et aux frères ortliebiens de Strasbourg, tous condamnent le mariage, — que par aill
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
7 faire aucune attention. » De même, à l’un de ses frères qui ne pouvait communier sans éprouver l’émoi sexuel, et à qui l’on a
8 ement chaque semaine, quoi qu’il advienne — et le frère se trouve guéri, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut p
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
9 136, chez les lollards anglais, chez les premiers frères moraves (sinon chez les hussites), mais aussi chez les hérétiques des
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
10 , selon l’appel qu’il a reçu de Dieu… Que chacun, frères , demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’il a été appelé (