1
décrit l’essentielle catastrophe de notre sadique
génie
, ce goût réprimé de la mort, ce goût de se connaître à la limite, ce
2
de réfuter un système incompatible avec le clair
génie
de notre race. Il reste donc d’une part un phénomène étrange, et d’au
3
r Arthur que le plus clair et le plus précieux du
génie
celtique s’est incorporé à l’esprit européen. (Hubert, II, p. 336.) C
4
-t-on le droit d’opérer ce rapprochement entre un
génie
religieux du premier ordre et un poème où l’élément mystique revêt le
5
à l’hérésie méridionale du xiie siècle ; 2° des
génies
comme saint Jean de la Croix et sainte Thérèse étaient mieux avertis
6
rent, le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde, le
génie
de l’Amour paraît dans un nuage et annonce la fin de l’enchantement.
7
es, ses ressources les plus secrètes, et comme un
génie
de duplicité tout inattendu du caractère français. Que de grands dipl
8
sement de ce Tristan qu’il porte en soi comme son
génie
caché ! Et plus rien ne compte en regard de la révélation mythique. (
9
forêt, où plus rien ne s’oppose à leur union, le
génie
de la passion dépose entre leurs corps une épée nue. Descendons quelq
10
e aspect du dynamisme occidental, j’entends notre
génie
technique, ne saurait être un seul instant ramené à la passion. L’att
11
erne, c’est la collusion de la guerre et de notre
génie
technique. À partir de la Révolution, la guerre devenant « nationale
12
réatrices va dénaturer à la fois la guerre, et le
génie
technique. La guerre mécanisée évacue la passion, et la technique en
13
chrétien. Si donc l’Europe succombe à son mauvais
génie
, ce sera pour avoir trop longtemps cultivé la religion para ou même a
14
nscience de sa perte, infiniment féconde pour son
génie
; il ne recouvra pas Régine, mais ne cessa jamais de l’aimer et de lu