1
ement l’attrait de l’interdit, d’où nous vient ce
goût
du malheur ? Quelle idée de l’amour trahit-il ? Quel secret de notre
2
la beauté, même maudite, mais d’un homme qui a le
goût
d’y voir clair, de prendre conscience de sa vie et de la vie de ses c
3
est la liaison ou la complicité de la passion, du
goût
de la mort qu’elle dissimule, et d’un certain mode de connaître qui d
4
ssentielle catastrophe de notre sadique génie, ce
goût
réprimé de la mort, ce goût de se connaître à la limite, ce goût de l
5
tre sadique génie, ce goût réprimé de la mort, ce
goût
de se connaître à la limite, ce goût de la collision révélatrice qui
6
la mort, ce goût de se connaître à la limite, ce
goût
de la collision révélatrice qui est sans doute la plus inarrachable d
7
par l’auteur à la règle de chevalerie, il y a le
goût
du romanesque. Derrière le goût du romanesque, il y a celui de l’amou
8
alerie, il y a le goût du romanesque. Derrière le
goût
du romanesque, il y a celui de l’amour pour lui-même. Et cela suppose
9
tel amour n’est pas sans lien profond avec notre
goût
de la guerre. Enfin, s’il est vrai que la passion, et le besoin de la
10
aisément par des circonstances passagères, ou des
goûts
personnels de l’auteur. 3. Voir Appendice 1. 4. Appendice 2. 5. Ce
11
ques, on vit reparaître en Gaule des modes et des
goûts
qui avaient été ceux des Celtes23. » L’art roman et les langues roman
12
éraire, un « tarabiscotage », « une perversion du
goût
singulière dans une littérature naissante », et qui au surplus « doit
13
se réduire à des fadaises sophistiquées, dans le
goût
des petites cours du Moyen Âge. Il peut être purement rêvé, et beauco
14
par des complaisances bien explicables envers le
goût
de leurs auditeurs, moins policés que ceux du Midi. Le caractère dist
15
ques sources certaines. « On a souvent signalé le
goût
des mystiques pour la littérature chevaleresque. Sainte Thérèse raffo
16
bas. Prenons le cas des métaphores : on dit d’un
goût
qu’il est amer mais on dira aussi d’une douleur qu’elle est amère. Co
17
pas moins d’amertume dans la douleur que dans le
goût
du sel, mais ce que nous désignons dans l’un et l’autre par le même m
18
ux guerres ; par leur anticléricalisme ; par leur
goût
de la pauvreté et de l’ascèse (végétarisme) ; enfin par leur esprit é
19
qu’il veut guérir : car on avoue difficilement le
goût
du malheur, à cette époque. « J’ai honte de souffrir les maux dont je
20
se. Il a grand besoin qu’elle existe pour trouver
goût
à la violer. Tristan, lui, se voit libéré du jeu des règles, des péch
21
.) Tout cela ne m’empêchera point de confesser un
goût
très vif pour le style de ce roman — seul comparable à l’Astrée sous
22
Novalis feront toujours figure d’adolescents. Le
goût
de la mort, chez les Allemands, exalte la saveur de vivre : c’est peu
23
découvert dans son « âme », c’est-à-dire dans son
goût
du sublime, ce vide dont parlait Fichte, cet appel insatiable à l’inc
24
étonnerait pas moins. D’où nous viennent donc ce
goût
et ce dégoût bizarres ? Ne sont-ils pas contre nature ? Encore une fo
25
a grande innocence bestiale nous guérira de votre
goût
du péché, cette maladie de l’instinct génésique. Ce que vous appelez
26
, au plus secret de la conscience occidentale, le
goût
de la guerre. Cette liaison singulière d’une certaine idée de la femm
27
e des variations de tempérament, de caractère, de
goûts
et de conditions externes qui ne manqueront pas de se produire un jou
28
physiologiques, rigoureusement indépendants des «
goûts
» individuels, donc des passions. À chacun sa « fiche de mariage ». A
29
ère constatation d’un conflit de caractères ou de
goûts
, l’on se demande : pourquoi suis-je marié ? Et il est non moins natur
30
’effet d’une impuissance à vivre largement ; d’un
goût
mesquin pour le confort et le conforme ; d’un défaut d’imagination ;
31
istoriquement, à la passion. Comme la passion, le
goût
de la guerre procède d’une conception de la vie ardente qui est un ma