1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
1 , et plein de méfiance pour le merveilleux, qu’il juge grossier, réduit autant que possible l’importance du philtre, et prés
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
2 des accusés, probablement « sollicités » par les juges et déformés par les greffiers. De fait, la découverte et la publicati
3 intacte (immatérielle) de Jésus, et semble-t-il, Juge plein de douceur des esprits délivrés. Les manichéens connaissaient d
4 uxurieux, usuriers… les maris trompeurs, les faux juges et les faux témoins, les faux prêtres, faux abbés, fausses recluses e
5 rme d’homicide, légal ou non. Et en place de faux juges , faux prêtres, faux reclus, et de maris trompeurs, les Inquisiteurs d
6 suivant n’eussent pas manqué de lire simplement : juges , prêtres, reclus et maris ! 86. Aliénor d’Aquitaine eut pour fils Ri
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
7 erne cette action ne peut que lui échapper, et il juge en fin de compte, très platement qu’il n’y a là qu’une faiblesse logi
8 usser jusqu’à la mort, — cette mort que Racine ne juge pas nécessaire. La pudeur classique, tant vantée, ne va pas, quoi qu’
9 de…Mais déjà l’homme du xviiie se réveille et se juge ridicule : « Voilà donc à quel degré de puérilité notre superbe raiso
10 cient. À force de l’entendre répéter par les bons juges , on a fini par croire que le Tristan de Wagner est un drame du désir
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
11 ssement de la personne et de l’Absolu qui seul la juge et la suscite. 201. Voir sur ce point : R. P. Lavaud, « L’idée div
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
12 pour elle-même, sans plus se référer à rien qui «  juge  » et qui « mesure » la jouissance qu’on en tire. Seul un respect acqu