1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 e, puis elle s’est elle-même dérobée à moi, ne me laissant que mon désir et mon cœur assoiffé ! Et ces deux strophes d’Arnaut D
2 ve. Il fallait « convertir » ce désir, tout en se laissant porter par lui, mais comme pour mieux le capter dans le courant puiss
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
3 monde, puis s’est elle-même dérobée à moi, ne me laissant rien que mon désir et mon cœur assoiffé. ») Au-delà même de cet état,
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
4 de Vérone, c’est le voile un instant déchiré, ne laissant au souvenir de nos yeux que l’image négative d’un éclat, « le soleil
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
5 tes du langage le font voir avec plus d’évidence. Laissant donc de côté les hypothèses multiples et changeantes relatives à la g