1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 rétien que l’Écriture nomme Agapè. Événement sans précédent , et « naturellement » incroyable. Car le fait de l’Incarnation est la
2 formes fixes, très compliquées et raffinées, sans précédent dans toute l’Antiquité ni dans les quelques siècles de culture romane
3 tout impossible de le rattacher latéralement aux précédents . C’est au xiie siècle que s’atteste en Europe une modification radic
4 hénomène que nous venons d’imaginer au paragraphe précédent . Si nous cherchons à nous représenter la situation psychique et éthiq
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
5 , paraît contredire formellement l’interprétation précédente . Elle rejette Maître Eckhart du côté de « l’Orient », c’est-à-dire du
6 ie sur la base des remarques que nous faisions au précédent chapitre ? « Comment savoir, écrit J. Baruzi, si certaines images que
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
7 le « vrai » se trouve lié, plus étroitement qu’au précédent , à un moment correspondant de la progression vers le « précieux », et
8 nt grand-peine à se maintenir, et que les siècles précédents n’ont pas connu. Les « alliances » privées se traitent dans les forme
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
9 hef qui incarne la Nation. D’où la puissance sans précédent du transfert qui s’opère du privé au public. Quel Wagner surhumain se
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
10 e la jeunesse que l’on serait tenté de juger sans précédent dans notre histoire européenne209. Quant au mariage, il fut en princi