1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 à se consacrer à Dieu seul, à ne jamais mentir ni prêter serment, à ne tuer ni manger nul animal, enfin à s’abstenir de tout c
2 roman, son intrigue et ses thèmes directeurs, se prêtaient au projet du poète d’une manière que l’on doit qualifier de propremen
3 pouvoirs surnaturels, les mêmes que ceux que Ton prêtait au Graal… (Le Graal rajeunit ceux qui le contemplent)… Ensuite, dans
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
4 oins dans une de ses tendances, ne s’est-elle pas prêtée à toutes les confusions ? N’a-t-elle pas abusé la première du langage
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
5 rme, tandis que les individus qui la composent se prêtent obscurément, sous le couvert d’un refus, aux passions qui tendent à s
6 l’amour courtois. La religion des troubadours se prêtait aux complicités les plus sournoises avec l’instinct, qu’elle excitait
7 rai support d’une rhétorique dont les figures lui prêtent désormais un semblant d’idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme
8 ture. Le mythe courtois, mieux que tout autre, se prêtait à ce processus, puisqu’il n’avait pu se traduire que dans les termes