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à se consacrer à Dieu seul, à ne jamais mentir ni
prêter
serment, à ne tuer ni manger nul animal, enfin à s’abstenir de tout c
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roman, son intrigue et ses thèmes directeurs, se
prêtaient
au projet du poète d’une manière que l’on doit qualifier de propremen
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pouvoirs surnaturels, les mêmes que ceux que Ton
prêtait
au Graal… (Le Graal rajeunit ceux qui le contemplent)… Ensuite, dans
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oins dans une de ses tendances, ne s’est-elle pas
prêtée
à toutes les confusions ? N’a-t-elle pas abusé la première du langage
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rme, tandis que les individus qui la composent se
prêtent
obscurément, sous le couvert d’un refus, aux passions qui tendent à s
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l’amour courtois. La religion des troubadours se
prêtait
aux complicités les plus sournoises avec l’instinct, qu’elle excitait
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rai support d’une rhétorique dont les figures lui
prêtent
désormais un semblant d’idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme
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ture. Le mythe courtois, mieux que tout autre, se
prêtait
à ce processus, puisqu’il n’avait pu se traduire que dans les termes