1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 rine de l’amour aux « romanciers » du cycle de la Table ronde . Et l’on peut suivre les voies de cette transmission dans les documen
2 aal le vase qui reçut le sang du Christ, et de la Table ronde une sorte d’autel pour la Sainte Cène. Cependant, même dans le grand
3 xactement identifiables que dans les romans de la Table ronde . ⁂ Hubert note très bien à propos de la littérature galloise que « c’
4 bsiste également dans Tristan et les romans de la Table ronde . On y voit un grand nombre d’aventures débuter par une promesse « en
5 de confusions de symboles. 90. Les Romans de la Table ronde , nouvellement rédigés par J. Boulenger, IV, p. 238. 91. Dans un autr
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre III. Passion et mystique
6 ançois nommait le frère Gilles « un paladin de sa Table ronde  », et les miracles du saint — comme la conversion du loup de Gubbio —
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
7 ésert, et les apôtres, les douze chevaliers de la Table ronde . L’ésotérisme manichéisant, toujours latent dans le cycle breton, ren
8 légende celtique d’Arthur et des chevaliers de la Table ronde . Dans son Penseroso, éloge de la Mélancolie nocturne, s’adressant à c
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
9 des tournois emprunte ses idées aux romans de la Table ronde . Ainsi, au xve siècle, le Pas d’Armes dit de la Fontaine des Pleurs
10 sang. (Ainsi fait Lancelot dans les romans de la Table ronde .) « L’atmosphère de passion qui entourait les tournois explique l’hos
11 vivre ». Les légendes épiques et les romans de la Table ronde multiplient les récits de tueries inouïes ; la gloire d’un chevalier