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supposer qu’il y en eût un, et un seul — nous est
totalement
inconnu. Les cinq versions « originales » qui nous restent sont des r
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tout, le problème du lyrisme provençal resterait
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obscur, comme il ressort de l’aveu même des romanistes. Or je le répè
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n moins de quelque nature animale que de coutumes
totalement
oubliées, devenues traces ou cicatrices mentales, tout inconscientes
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oduite dans la bulle : « Nous nous métamorphosons
totalement
en Dieu et nous nous convertissons en lui de la même manière que le p
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ité. C’est là qu’est son devenir. Elle devient si
totalement
un seul être qu’il ne reste pas d’autre distinction que celle-ci : Lu
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. Mais ils ne purent ou ne voulurent les anéantir
totalement
: de nos jours, on retrouve çà et là des communautés mennonites mêlée
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et suivre une voie que le malheur des temps rend
totalement
impraticable. L’Église de Rome a triomphé. Mieux vaut dès lors se met
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le d’être servi, c’est celui qui nous posséderait
totalement
et qui, par sa fuite même, nous enflammerait sans cesse davantage — c
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exactitude, parfois de profondeur ; mais elle est
totalement
pessimiste — puisque aussi bien il s’agit d’une erreur et dont il se
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’envahissement de notre conscience par le contenu
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profané du mythe. Celui-ci cesse d’ailleurs d’être un vrai mythe dès
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menés vers la jouissance des choses, c’est-à-dire
totalement
invertis par rapport à l’amour courtois. La religion des troubadours
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ression « essentiellement lyrique » nous parvient
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profanée, et par suite dénaturée. Voici les forces en présence : d’un
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e » ne saurait concerner que des actes. Il serait
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absurde d’exiger de l’homme un état de sentiment. L’impératif : « Aim