1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
1 ertains abjurèrent l’hérésie sans abandonner le «  trobar  » ? Eh oui ! tout comme tel converti dans la plus récente poésie, vou
2 ens cryptographique. Je veux parler de l’école du trobar clus, déjà citée, et que M. Jeanroy définit en ces termes : « Un autr
3 l’usage à l’expression de l’amour humain58. » Le trobar clus ne serait ainsi qu’un jeu littéraire, un « tarabiscotage », « un
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
4 encore ce qu’est l’Amour. N’avaient-ils retenu du trobar clus que le procédé mystifiant ? On serait assez tenté de le croire,
5 ntenant nous pouvons distinguer les thèmes que le trobar mêlait dans la naïve transparence de ses symboles. Voici les derniers