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tait alors à recouvrir une pensée religieuse d’un
vêtement
profane, à appliquer à l’amour divin les formules consacrées par l’us
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d’une foule immense, il se dépouilla de tous ses
vêtements
et se dressant tout nu devant son père richement habillé, déclara que
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ici que cent ans et trois-cents ans plus tard, ce
vêtement
dont on a oublié qu’il cachait autre chose que la nature — c’est la m
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e ne pas être, en revenant, obligés de reculer en
vêtements
guerriers. Maintenant, revêtu de sa cotte d’armes, il ne peut donc re
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e du chevalier de porter le voile ou une pièce du
vêtement
de sa dame, qu’il lui remet parfois, après le combat, tout maculé de