1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 ne jamais mentir ni prêter serment, à ne tuer ni manger nul animal, enfin à s’abstenir de tout contact avec leur femme, s’ils
2 éternelle. Mais que penser du reste ? À table, il mange les trois quarts d’une pomme en l’honneur de la Trinité, et le dernie
3 uart par amour pour la Mère céleste qui donnait à manger une pomme à son tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mang
4 tendre enfant Jésus ; et ce dernier quart, il le mange avec la peau, parce que les petits garçons ne pèlent pas leurs pommes
5 ès Noël, au temps où l’Enfant est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie
6 nt est trop jeune pour manger des fruits, Suso ne mange pas ce dernier quart, mais l’offre à Marie qui le donnera à son fils.
7 vir le cœur de la victime sur un plat. La dame le mange sans savoir ce que c’est. Le seigneur le lui ayant dit : — » Messire,
8 — » Messire, répond la dame, vous m’avez donné à manger mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et ell
9 nné à manger mets si savoureux que jamais plus ne mangerai rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admett
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
10 ux venimeux qui changent en poison tout ce qu’ils mangent … » ⁂ De la comparaison formelle des écrits d’un Eckhart, avec ceux d’
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
11 yable, tandis que son confrère Bigorne, lequel ne mange que les maris soumis, est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement