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dans son accomplissement. À quoi tend l’ascèse «
orientale
» ? À la négation du divers, à l’absorption de tous en Un, à la fusio
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ce fut le cas pour tant de sectes et de religions
orientales
— jaïnisme, bouddhisme, essénisme, gnosticisme chrétien — l’Église ca
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our du viiie siècle) retrouvés dans le Turkestan
oriental
. Et l’on peut suivre la transformation des noms hindous « Baghavan »
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s uns aux autres le baiser de paix, selon le rite
oriental
, que les cathares paraissent avoir repris. — Enfin, M. Anitchkof a mo
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e Maître Eckhart figura l’hérésie que j’appelle «
orientale
» aux yeux de Ruysbroek l’Admirable. ⁂ Ruysbroek se montre impitoyabl
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u corps et de l’âme. C’est la tendance ascétique,
orientale
— le monachisme vient d’Orient — c’est la tendance hérétique des « pa
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uenets introduisent l’usage du tambour, d’origine
orientale
. « Avec son effet hypnotique et inharmonieux, le tambour symbolise la
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recherches sur la passion peuvent établir. ⁂ Les
Orientaux
caractérisent l’Europe par l’importance qu’elle donne aux forces pass
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ître la passion, mais c’est une hérésie d’origine
orientale
. Cette hérésie s’est répandue d’abord dans les contrées les moins chr
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ut-il conclure que la passion serait la tentation
orientale
de l’Occident ? S’il est vrai qu’elle ne s’est développée dans notre
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n que l’Occidental christianisé se distingue de l’
Oriental
par son pouvoir d’approfondir l’être créé dans ce qu’il a de particul
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’est tout le secret de notre fidélité. La sagesse
orientale
cherche la connaissance dans l’abolition progressive du divers. Nous,