1 ce malheur ? Ou faut-il croire qu’en secret nous préférons ce qui nous blesse et nous exalte à ce qui semblerait combler notre i

2 r le fonds, car il s’agit de savoir pourquoi l’on préfère cet amour à l’autre, à celui qui se « réalise », à celui qui se « sat

3 obstacle le plus grave, c’est donc celui que l’on préfère par-dessus tout. C’est le plus propre à grandir la passion. Notons au

4 eler — tout en feignant de la repousser. Pourquoi préférons -nous à tout autre récit celui d’un amour impossible ? C’est que nous

5 hétorique amoureuse. ⁂ Thème de la mort, que l’on préfère aux dons du monde : Plus m’agrée donc de mourir Que de joie vilaine

6 nne partie des laïcisations du mythe, ou comme je préfère le dire : des « profanations » successives de son contenu et de sa fo

7 e tout autre amour. Se plaindre d’un mal que l’on préfère cependant à toute joie et à tout bien terrestre. Déplorer que les mot

8 ne sera jamais que l’occasion d’une torture qu’il préfère à tout : Je sais, suivant mon feu partout où il me fuit, Brûler de l

9 ’est pas la plus noble part, et l’homme vigoureux préférera toujours veiller à dormir. Voici deux textes qui rendent un son prop

10 ir. Elle manifeste ainsi sans se l’avouer qu’elle préfère le risque de mort, et la mort même, à l’abandon de sa passion. « La l

11 ransigent point, à l’inverse des intérêts : elles préfèrent la mort héroïque. (De tous temps les guerres de religion ont été de b

12 génération, de même que chaque époque de la mode préfère soit la tête, soit le buste, soit la croupe, soit la ligne sportive.

13 n’auront plus de passions, quand ils cesseront de préférer l’erreur comme telle, quand ils cesseront de mériter cet inquiétant n

14 ison » est tout à fait inefficace aux yeux de qui préfère le mythe et veut croire aux révélations de la passion. 223. B. Croce