1 lu. Ainsi le moi devient conscient et se détache, échappe au corps magique, s’isole enfin, mais c’est pour mieux se perdre en s

2 cident. Il y a là de l’arbitraire, mais comment y échapper sans brouiller le dessin de cet ouvrage ? Voici maintenant quelques r

3 ace Rouge ne couvrira jamais ce murmure obsédant, échappé voici près de seize siècles des lèvres de l’empereur Julien mourant :

4 mythe a pénétré nos vies, et même si nos actions échappent à son emprise, il ne cesse de régner sur nos rêves et d’éveiller nos

5 ’homme n’aurait pas la preuve d’une existence qui échappe au temps et à la mort. « Si le Christ n’est pas ressuscité, votre foi

6 issance de l’État, les mouvements de masse, etc., échappent à ses prises et l’enserrent, — « il ne se retrouve plus » et démissio

7 tre siècle, notre image du monde s’évanouit. Elle échappe à notre raison, comme elle avait déjà échappé à nos sens. Dépassée la

8 lle échappe à notre raison, comme elle avait déjà échappé à nos sens. Dépassée la matière, qui était pourtant devenue l’objet p

9 ls, la faculté de réaliser ses rêves, de voler, d’ échapper aux saisons (le Paradis conçu comme Printemps perpétuel), de dominer

10 e : tout amour est paradoxal. Et si l’on essaie d’ échapper à ce paradoxe essentiel, l’amour devient seulement prendre ou s’aband

11 as objet de statistiques ; et par définition elle échappera toujours aux calculs des cerveaux électroniques. La personne seule co

12 ù les grands problèmes de l’État et de l’économie échappent précisément à la compréhension des masses électorales et des élites,