1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre I. Où les voies se séparent
1 assaux une telle docilité. […] Et chaque Européen éprouvera ici le même sentiment que le comte de Champagne : il se verra mené à
2 e « horreur » et ce « plus violent des refus » qu’ éprouve l’Européen, selon Jünger, devant la cruauté des Orientaux ? Nous ne s
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre V. L’expérience du temps historique
3 voir qu’il serait intimement lié, chez ceux qui l’ éprouveraient , au sens de la personne ? Presque toutes les cultures et civilisation
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VII. L’exploration de la matière
4 tablies précédemment. La pensée logique elle-même éprouve le besoin de se mettre sans cesse en échec, non pas en vue d’une abdi
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
5 prétend « satisfaire » des besoins que personne n’ éprouvait du tout. On n’a pas inventé l’auto parce que l’homme en avait besoin,