1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre II. Où le drame se noue
1 me de la foi sera l’homme en chemin, le viator, l’ éternel « voyageur sur la Terre », qui n’a pas ici-bas de cité permanente. Il
2 tale responsabilité de l’homme qui pèche et sur l’ éternelle prescience et décision de Dieu quant au salut de chacun. 18. Hébreux
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre III. La spire et l’axe
3 sme, partout où il agit dans l’esprit de son chef éternel , détruit les castes et les barrières de classe, de nation, de race et
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IV. Le Château aventureux
4 dre établi. L’Église est obéissance au Libérateur éternel , mort pour nous mais présent dans la foi, cette « ferme assurance des
5 té, au mépris de toute vraisemblance. La « France éternelle  », « l’Allemagne immortelle » sont des expressions courantes en temps
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre V. L’expérience du temps historique
6 , voilà qui brise la croyance unanime aux retours éternels du temps cyclique. Dans le prolongement du temps dramatique des Proph
7 nt développé des mythes du temps cyclique et de l’ éternel retour, c’est parce que l’homme a peur du temps. Voilà le fait fondam
8 précisément leur malfaisance. 48. Le Mythe de l’ éternel retour, Paris, 1949.
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Chapitre XII. La quête sans fin
9 ient pour mort et condamné. Et soudain la Sagesse éternelle apparaît, Minerve s’adresse au héros : Fils de Laerte nourri du Ciel