1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre III. La spire et l’axe
1 Mais elle joue sur nos confusions : n’est-ce pas au nom de la liberté, ou de la paix, et comme en louvoyant avec ces noms puissa
2 jà la Réforme recrée une morale du service social au nom de la liberté bien tempérée, et voilà qui évitera par la suite aux pays
3 e aux dépens du dernier et contre lui, mais c’est au nom de l’avant-dernier qu’elle innove, en croyant s’y conformer : le Moyen Â
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IV. Le Château aventureux
4 ui substituent le serment conclu contre cette vie au nom de la seule passion. Ici paraît la forme religieuse du phénomène et de s
5 il se sait illégitime dans sa prétention à régner au nom de tous contre une moitié du peuple, le Parti vit dans l’obsession des «
6 la justice en instrument de l’idéologie, le tout au nom de la Nation. Mais si, à l’intérieur, l’idée de nation devient entre les
7 e, même la plus sereine, a besoin du prestige lié au nom de Saint. 41. Bulletin de la Société d’horticulture de France, janvie
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
8 uons deux espèces de motifs allégués. On proteste au nom de l’Esprit (spirit) ou tout simplement de l’esprit (mind), contre les f
9 ise de soi, individualité et liberté… On proteste au nom de la Nature, de ses « rythmes majestueux », ou du « contact avec la ter
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IX. Les ambivalences du progrès
10 onnaître ses travaux, ou de les poursuivre ? Mais au nom de quel pouvoir de prévision, supérieur à celui de ce grand cerveau si n
11 dans les jugements politiques qu’elles en tirent au nom de préférences tout à fait subjectives et généralement inavouées. Si le
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Chapitre XI. Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
12 s de l’Occident. En revanche, l’Occident se doit, au nom de ses croyances et dans son plan, de venir en aide aux Orientaux. Je ne