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is son discours assemble un peuple et suscite une
communauté
. Celle-ci réclame un cadre et des institutions. Or, au plan politique
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nt, reliant l’individu comme vocation divine à la
communauté
comme amour du prochain. Cet homme, mieux libéré que l’individu grec,
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e le met au service du prochain. Entrant dans une
communauté
chrétienne, l’esclave y trouve la dignité morale qui était celle de l
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ans la perspective chrétienne est le suivant : la
communauté
des personnes, libérées et reliées en vertu de la foi. Cet idéal s’e
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t puissant de l’aventure occidentale. Les deux
communautés
On me dira que l’aventure est sur le point de mal finir, car les r
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lérosés ? Les données générales du problème de la
communauté
des hommes en Occident peuvent être résumées en termes analogues, qu’
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e ne demander plus rien d’autre qu’un principe de
communauté
, c’est-à-dire un moyen quelconque de donner un sens à sa vie engagée
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r ses enfants… Mais l’Église au contraire est une
communauté
de vocations personnelles, et donc imprescriptibles. Elle appelle à l
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erte et progressive. Le Parti lui aussi offre une
Communauté
, mais fermée et par suite régressive. Cette double possibilité commun
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s comme une erreur pathétique. Ils rêvaient d’une
communauté
, sans oser la vouloir vraiment, faisant leurs dieux de ceux qui en di
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dans les bureaux de l’État l’élan premier vers la
communauté
, les révolutions de l’Europe ont fomenté le nationalisme, cette trois
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idéal, une idéologie, le principe d’une nouvelle
communauté
non de naissance, mais d’avenir et de volonté. Toutefois, cette idéol
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t le Scandale. Il en reste cette soif d’une vraie
communauté
qui déclenche les révolutions et qui entretient le culte de l’idole n
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, il n’est rien sorti de durable de leurs petites
communautés
de retraite. Cependant, l’attitude de révolte impuissante contre le t