1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre I. Où les voies se séparent
1 leurs ultimes conclusions (condamnées et souvent détruites ), tandis qu’il ne manque pas d’écoles hindoues pour affirmer la réali
2 sse un respect de la Vie qui va jusqu’au refus de détruire la vermine13. Pourtant, l’adoration de la vie en général n’entraîne p
3 ’est qu’une illusion temporaire, celui qui tue ne détruit rien qui compte ; mais au contraire, si le moi libre et unique est un
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre III. La spire et l’axe
4 out où il agit dans l’esprit de son chef éternel, détruit les castes et les barrières de classe, de nation, de race et de rang.
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre V. L’expérience du temps historique
5 a personne se fonde dans ce qui juge le temps, le détruit et le renouvelle. Et si l’on rêve d’un monde coupé du transcendant, o
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Chapitre XI. Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
6 les ordres. Tout échange est ambivalent. Il peut détruire autant que féconder. L’adoption de nos machines et de certaines croya