1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre III. La spire et l’axe
1 Il épure, centralise et tyrannise. Il combat les goûts personnels, qui seraient source de conflits improductifs, et même éve
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre V. L’expérience du temps historique
2 que toutes les précédentes ? Oui, s’il s’agit du goût de connaître le passé, plus répandu que jamais dans le grand public :
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
3 ses facultés les plus humaines : jugement, choix, goût de différer, fantaisie, besoin d’imprévu, sérénité, loisir, maîtrise
4 d’illustrer cette théorie tragique, reflétant le goût du temps plus que la réalité. L’homme primitif — qui vit encore en ch
5 ec âme, mais ne s’y baignait pas physiquement. Le goût de s’étaler au soleil sur les plages est contemporain de l’auto. La t
6 ains sans leur odeur ni leur température, sans le goût de leurs vins ni la qualité de leur air : ces « vues » sont donc auta
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IX. Les ambivalences du progrès
7 sso ? » se demandent-ils avec anxiété. Certes, le goût de différer est l’une des marques permanentes de l’Occident : mais il