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foi dans l’action du pardon, de l’amour et de la
grâce
de Dieu. Le fils d’un roi de ce monde quitte son palais princier pour
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s pour affirmer la réalité du Moi, l’action de la
Grâce
, voire un Dieu personnel. L’idée de la « voie » ou « loi individuelle
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ite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de
grâce
et de vérité. » Ce scandale pour les Grecs, cette folie pour les Juif
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vérité et la vie. » Au terme de la voie sera la
Grâce
, donnée par un Dieu personnel « qui nous a aimés le premier ». Et la
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personnel « qui nous a aimés le premier ». Et la
Grâce
est tout à la fois aide prévenante, pardon final, béatitude, conditio
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me, il est initié par Dieu seul, et donné par une
grâce
pure ; et pourtant l’homme qui l’a reçu doit agir comme s’il le gagna
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selon son bon plaisir17. » Entre la Parole et la
Grâce
, la vocation et le pardon, comment trouver et vivre le chemin ? Pour
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es qu’on ne voit pas », mais l’anticipation de la
grâce
finale, et le seul guide. « C’est par la foi qu’Abraham, lors de sa
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role et non Silence ; faite chair et non concept.
Grâce
au lieu de mérite ou de technique de l’âme. Foi, non pas connaissance
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ndividu. 16. Malgré certaines affirmations d’une
grâce
divine dans le système Vishishtâdvaita : il s’agit d’influences chrét
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homme pour son plaisir : elle le saisit comme une
grâce
exigeante, et le revêt d’une vocation. L’individu arraché du commun p
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but final s’il n’accepte pas en même temps que la
Grâce
subvienne à sa débilité et qu’ainsi le salut soit donné par Dieu seul
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livre l’homme à l’imprévisible, c’est-à-dire à la
grâce
de Dieu, mais aussi à la liberté ; il devient responsable de son temp
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cesse, il est pourtant soutenu par sa foi dans la
grâce
. Il est donc un inquiet perpétuel, mais qui sait les raisons de son i