1
seule passion. Ici paraît la forme religieuse du
phénomène
et de son mythe. On voit l’homme et la femme entrer dans la passion c
2
le nom de Révolution. L’idée et la réalité de ce
phénomène
, je l’ai dit, sont inconnues dans tout l’Orient, qu’il s’agisse des e
3
fanatique à ses débuts… Tout porte à rattacher le
phénomène
de la révolution à quelque qualité ou défaut spécifique de l’Occident
4
a révolution, c’est-à-dire du modèle spirituel au
phénomène
politique et social ne semble pas aller de soi. Il paraît même douteu
5
« découvrir » l’Europe. Mais comment expliquer ce
phénomène
unique à partir de ces « causes » variées ? Un exemple précis va nous
6
est l’exemple le plus pur55. Certes, il s’agit de
phénomènes
de même nature, et dont l’opposition ne résulte peut-être que des mét
7
qu’on a peur, mais au contraire de l’imprévu des
phénomènes
. Loin d’essayer de se libérer de ces « lois », on espère bien que les
8
ons n’étaient pas attendus. Prise de court par un
phénomène
qui l’étonnait merveilleusement, et dont elle ne pouvait mesurer l’am
9
s la morale individuelle reste sans prises sur un
phénomène
qui évolue au niveau des besoins collectifs : le profit dépend toujou
10
morale assez puissante, désormais, pour régler le
phénomène
technique, sera donc la morale sociale, définie par les grands États.
11
é pour les questions religieuses n’aura été qu’un
phénomène
transitoire de notre civilisation occidentale. (Voir plus haut ce que
12
ocraties. Il voit naître la science appliquée aux
phénomènes
sociologiques. Il entrevoit la possibilité de vaincre, au moyen de la
13
Comment mesurer, dans notre monde présent, si le
phénomène
personnel devient plus fréquent et plus ample — ce serait la seule pr
14
L’URSS et la Chine ne représentent-elles pas des
phénomènes
d’occidentalisation (trop rapide) d’une large partie de l’humanité, a
15
ondition. Tous les peuples civilisés ont connu le
phénomène
des classes vouées à la misère héréditaire. Jamais cependant le prolé
16
lions aussi démontrer l’impossibilité de certains
phénomènes
, ou de certaines conceptions que l’Asie tient pour vraies : la magie,