1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre II. Où le drame se noue
1 cte ne peut être jugée par sa conformité avec les règles du sacré ou du social, mais que son sens dépend d’une attitude intime
2 précisément dans l’amour du prochain, non dans la Règle collective, impersonnelle, que saint Paul a trouvé le secret de l’har
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IV. Le Château aventureux
3 et qui l’amène au jour de l’existence, comme les règles d’un jeu suffisent à provoquer une ardeur insensée à propos de bouts
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre V. L’expérience du temps historique
4 a vocation d’un homme peut être plus vraie que la règle — d’où les martyrs des premiers temps du christianisme. Si au contrai
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
5 lle de l’utile, mais du jeu70. Or qui dit jeu dit règles fixes. Ce qu’il s’agit de maintenir avec un soin jaloux, c’est le sys
6 ntes, vont continuer à « jouer le jeu » selon les règles . Ainsi l’humanité dans ses rites religieux « joue » l’ordre naturel p
7 de leur magie, de leurs rêves différents, et des règles particulières de leur jeu avec la Nature. Jusqu’ici, la Nature demeur
8 ut plus relever que de la morale courante, de ses règles abstraites ou coutumières. Mais la morale individuelle reste sans pri
9 e, de paix de l’âme ou d’exaltation ; demain, des règles de yoga « scientifique », à l’occidentale.