1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre I. Où les voies se séparent
1 leur sens symbolique et spirituel, recourons aux récits visionnaires que deux grands philosophes religieux de l’Iran et de l’
2 i, nous ont laissés sur ce sujet fondamental6. Le récit d’Avicenne est une initiation à l’Orient, monde des Formes de lumière
3 … » (Il s’agit de notre vie terrestre.) Dans son Récit de l’Exil occidental de l’âme, Sohrawardi décrit le pèlerinage de l’â
4 boliques de l’Orient et de l’Occident que dans le récit d’Avicenne, auquel l’auteur rattache d’ailleurs son conte, qui est un
5 États-Unis. 6. Cf. Henry Corbin, Avicenne et le récit visionnaire, 2 vol., Téhéran, 1954, et du même auteur : Œuvres philos
6 I, Téhéran, 1952. On y trouvera le texte des deux récits que je mentionne. Celui d’Avicenne s’intitule : Récit d’Havy ibn Yaqz
7 s que je mentionne. Celui d’Avicenne s’intitule :  Récit d’Havy ibn Yaqzân. Celui de Sohrawardi : Récit de l’Exil occidental d
8  : Récit d’Havy ibn Yaqzân. Celui de Sohrawardi : Récit de l’Exil occidental de l’âme. Le premier date du xe siècle, le seco
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre V. L’expérience du temps historique
9 lus un conte, elle se distingue absolument de son récit . Elle ne concerne plus le passé, ni ses « leçons », qu’on pourrait au