1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre III. La spire et l’axe
1 ïsme ont passé dans nos liturgies, comme le titre suprême de la Rome païenne, le pontifex, désigne encore les papes. Etc. Strat
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IV. Le Château aventureux
2 paisée au plus pur des chorals de Bach. La « Joie suprême  » d’Isolde agonisante n’est qu’un dernier défi au Soleil disparu derr
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre V. L’expérience du temps historique
3 nne la place du salut et qu’il tienne lieu de but suprême . Succès individuel ou collectif d’ailleurs ; mais le premier sent la
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VII. L’exploration de la matière
4 ères et de leurs conciles. Il fut aussi le modèle suprême de la polarité impensable mais vraie, qui exige, dès qu’on l’admet, u
5 andes religions avaient conçus comme ceux du Dieu suprême , la physique et la mathématique peuvent les transférer au Cosmos. Mai
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
6 ichéisme. Mais bien et mal supposent une Autorité suprême qui juge : si l’on refuse Dieu, ce sera la Société. C’est accepter la
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Chapitre X. Le drame occidental
7 eprenant sa place dans l’histoire, ne sera pas la suprême solution ni l’accomplissement de la Quête. Mais leur effort lui-même