1
les, s’il est vrai que nous nommons « science » l’
étude
du corps humain et de la matière. Il y a plus. Pour l’Européen chréti
2
qui est évident, puisque nous appelons science l’
étude
des lois du corps humain, de la matière et du cosmos. Les sciences ph
3
n’est qu’illusion ? L’Orient s’est donc voué à l’
étude
de l’âme et des pouvoirs sur l’âme — et il a trouvé ce qu’il cherchai
4
e l’Europe christianisée allait se tourner vers l’
étude
d’une création voulue par Dieu et elle a trouvé, elle aussi, une tout
5
s de pensée nécessaires au développement de cette
étude
. La tradition des grands philosophes grecs nous léguait en effet les
6
tte formation obligatoire absorbe 67 % du temps d’
étude
, et ne laisse à peu près aucune place à la culture générale, réduite
7
uels, mais aux instituts de recherches, bureaux d’
études
, séminaires et brain-trusts, œuvres d’éducation, fouilles et films. R
8
ou renforcement de quelques organismes centraux d’
étude
et d’exécution des tâches définies par le Conseil (recherches, inform
9
ominée par des vues d’ensemble et tenant compte d’
études
conjoncturelles, dont les départements spécialisés des fondations amé
10
eunesse, Paris 1951 : Association des instituts d’
études
européennes, Genève 1952 : Association des universitaires d’Europe, P
11
ociation européenne des enseignants, Paris 1958 :
Étude
par les trois Communautés européennes (CECA, MC, Euratom) d’une Unive
12
es instituts de la Communauté européenne pour les
études
universitaires, Luxembourg 1959 : Fonds culturel du Conseil de l’Euro