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ont paru sous d’autres titres et une forme un peu
différente
, le premier dans Occident-Western World d’octobre 1957, le second dan
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mmun, en avril 1958. Conçus pour des publics bien
différents
, de propos tantôt général, tantôt nettement délimité, ces quatre text
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ous dit : « Nous sommes, en Europe, beaucoup trop
différents
les uns des autres. Nos nations sont vraiment, par tradition, presque
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ite ? » À nous entendre, nous autres Européens de
différentes
nations, nous autres Français de différents partis, ou nous autres Su
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s de différentes nations, nous autres Français de
différents
partis, ou nous autres Suisses de différents cantons, nous n’aurions
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s de différents partis, ou nous autres Suisses de
différents
cantons, nous n’aurions vraiment pas grand-chose en commun… Vus d’Amé
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t à l’heure, consiste à dire que nous sommes trop
différents
. Il y a trop de diversités de tous ordres en Europe pour que nous pui
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, en Europe, un trop grand nombre de langues trop
différentes
pour arriver jamais à nous entendre. Examinons rapidement ces trois g
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même de la nation, on parle au moins sept langues
différentes
. On parle le français de l’Île-de-France, devenu langue officielle de
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bre beaucoup plus grand de langues, beaucoup plus
différentes
entre elles que ne le sont l’allemand, l’anglais, le français, l’espa
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x souligner simplement que ces deux réalités sont
différentes
essentiellement et différentes dès le début. La question, pour moi, r
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deux réalités sont différentes essentiellement et
différentes
dès le début. La question, pour moi, revient donc à bien voir comment
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hrétiennes que procède l’idée de liberté dans ses
différentes
acceptions, ces dernières permettant de rendre compte des tendances p
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n que, sur la terre entière, les peuples les plus
différents
l’adoptent avec une telle facilité ? Il nous faut donc chercher beauc
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le mécénat doit se tourner vers des domaines très
différents
, où il est moins facile de s’orienter. Comment savoir où sont les vra
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on la mieux nourrie de connaissances précises des
différents
domaines envisagés et des perspectives qu’ils nous ouvrent. Après quo