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urier, mais il est aussi neuf, à cette époque, qu’
énergie
nucléaire vers 1939. 10. « Hymne », dans Les Fleurs du mal.
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nter d’entraîner dans son jeu propre les formes d’
énergie
dont ils sont conducteurs. Cette conversion de l’énergie d’Éros se ré
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dont ils sont conducteurs. Cette conversion de l’
énergie
d’Éros se révélera peut-être un jour plus importante, pour l’avenir d
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de l’humanité, que l’actuelle domestication de l’
énergie
nucléaire et solaire. Car si l’une doit permettre d’explorer l’espace
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l’absolu nihilisme moral. Il séduit par la seule
énergie
du désir. « Je ne l’imagine pas du tout comme quelqu’un qui forme ses
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plan, d’aucun temps, car il est toujours prêt, l’
énergie
est constamment présente en lui et le désir aussi. » Il n’étourdit pa
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constamment homologues, tous les deux irrigués d’
énergie
passionnelle, tandis que « l’éthique », le stade intermédiaire, paraî
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ntôt aimanté par le sexe, il y prend une nouvelle
énergie
, ou des raisons nouvelles de se renier. C’est alors que les mythes s’
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s’y prêter force en secret, ils exténuaient leur
énergie
dans la pureté d’un jeu bien alterné. Demeurait la perplexité, serein
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Sphinx : devine, ou je te dévore ! Une constante
énergie
de l’énoncé. Et une grande force d’exclusion. Seuls les mondains, pen
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ture de l’atome traduit certaines propriétés de l’
énergie
. « C’est l’amour dominant qui fait l’homme… L’homme est absolument te
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r l’Être dans le singulier et les structures de l’
énergie
universelle. Car c’est au secret des personnes que nous tentons d’éco
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ique. (La main saisie, l’éclair, la trappe.) 4. L’
énergie
cosmique. — La dernière forme de l’amour n’est atteinte que par la pe
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e tangible et sensible, elle découvre et mesure l’
énergie
et le mystère de l’attraction universelle. Et il est beau que l’avent
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des corps, que la lumière soit devenue vision, l’
énergie
sentiment, la structure mythe, et la gravitation désir. Ce qui troubl
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éé le vide en déployant l’attrait, que l’on nomme
énergie
ou désir, selon l’ordre physique ou animique. Et cela seul donne un s