1
onc trouver son analogie dans la vie sexuelle des
époux
fidèles à leur serment. De même, l’orthodoxie des Pères de l’Église,
2
e) de mon roman (éduqué en Europe, j’y insiste) n’
épouse
l’american way of life, en la personne d’une bourgeoise accomplie, qu
3
Intrigue démente pour posséder l’enfant, dont il
épouse
d’abord la mère. Cette malheureuse mourra bientôt, renversée par une
4
Sophie von Kuhn, morte à 11 ans, un Edgar Poe qui
épouse
une fille de 14 ans, et le génial Lewis Carroll : Alice au Pays des M
5
Jivago, qu’elle soigne dans un hôpital, mais elle
épouse
un révolutionnaire et disparaît. Jivago la retrouve beaucoup plus tar
6
ejoindre Moscou, où il vit misérable et caché. Il
épouse
sans amour une jeune fille qui s’occupait de son ménage, puis la quit
7
l’homme s’élève, à condition cependant qu’il ne l’
épouse
pas. Dans ses moments « d’équilibre doré » et d’évaluation créatrice
8
e Bayreuth surtout — où l’auteur de Tristan est l’
époux
comblé de Cosima… — loin du Nord désormais détesté, Nietzsche vit à G
9
est opposée à son amour pour Emmanuèle ; celle-ci
épouse
un certain T., dont on ne sait rien, et qui n’est là, visiblement, qu
10
tre l’illustre sage légendaire Yajnavalkya et son
épouse
Maitreyi, qui l’interroge sur l’immortalité. 125. Phrases empruntées
11
té, l’expose à devenir adultère, et que celui qui
épouse
une femme répudiée commet un adultère (Matt., V, 31). Sexualité et