1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
1 onsumer glorieusement, à défier la morale du Jour au nom de la mystique de la Nuit, et la vie d’action raisonnable au nom de l’ex
2 stique de la Nuit, et la vie d’action raisonnable au nom de l’extase et de la mort enthousiasmante. ITrois vrais romans d’amour
3 rétend aussitôt que j’ai insulté la Russie. C’est au nom de celle que j’aime qu’il me repousse et qu’il menace de m’exiler. Mais
4 exister que hors de lui. Elles « justifiaient »18 au nom de ce nouvel Amour toute une série d’actions tenues pour crimes : astuce
5 stan, il est vrai, la polémique contre le mariage au nom de l’amour-passion anime tout le récit. Comme dans Tristan, l’on sent qu
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
6 mot, révèle, et disparaît. Don Ottavio s’indigne au nom de la morale, mais le paysan Mazetto semble savoir un peu ce qu’il en es
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
7 ion ne sont pas les mêmes : les moralistes jugent au nom de la société, les spirituels au nom de l’amour. Nous n’invoquerons ici
8 istes jugent au nom de la société, les spirituels au nom de l’amour. Nous n’invoquerons ici que les seconds. L’école chrétienn
9 l’adultère de la femme mariée ; mais ce n’est pas au nom de l’amour, on le pense bien). « Écarte les choses, ô amant, ta voie est
10 que le christianisme, en condamnant la sensualité au nom de l’esprit, l’a posée comme réalité et catégorie spirituelle. Dans les
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
11 n’avoir jamais douté de tout cela, qu’en vertu et au nom de l’Amour. Il est la grâce indubitable. Je n’ai pas d’autre foi certain
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Annexe III. Post-scriptum
12 rent un terme à cette tentative. En jugeant André au nom de sa morale puritaine, la mère le rejetait aux « vices contre nature »,
13 contre nature », et en condamnant « l’impudique » au nom de l’Évangile et du Royaume de Dieu, l’oncle le rejetait à l’incroyance.
14 ’amour, des règles générales imposées à l’amour —  au nom de quoi, qui serait plus vrai ? Les normes valent pour tout, sauf pour l