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ciliables. Première version : le frère et la sœur
cèdent
à leur amour, réfugiés sans passeports dans une île de l’Adriatique.
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ne de l’impuissance. Et il est vrai que celui qui
cède
à cet attrait superficiel que presque toutes les jolies femmes peuven
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s qu’ils respectaient, voyez comme elles ont vite
cédé
! Il faudra donc s’en prendre à Dieu et à son Fils. Déjà « le Dieu mo
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e au moins de haïr tout ce qui passe, tout ce qui
cède
, toute l’impudeur et la lourdeur du monde. C’est au point de fureur d
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ins ne doutaient pas un instant que Dona Anna ait
cédé
à Don Juan, prenant (ou non) « l’homme inconnu » pour son fiancé, à l
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ou la motivation réelle ? Gide avait-il seulement
cédé
à ce curieux besoin (dont il se plaint souvent) d’abonder dans le sen
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e dos des fervents indiscrets ! Et n’avais-je pas
cédé
à l’illusion banale qui veut que l’auteur et l’œuvre soient pareils,