1
ce triomphe n’est pas fatal si l’esprit relève le
défi
et, malgré l’emprise du mythe qui tend à l’enfermer dans sa durée lyr
2
le » reconnaît Ulrich. « Un amour peut naître par
défi
, il ne peut être fait de défi. Il faut qu’il soit inséré dans une soc
3
our peut naître par défi, il ne peut être fait de
défi
. Il faut qu’il soit inséré dans une société. Il n’est pas un contenu
4
sorte de polémique anxieuse, de méchanceté et de
défi
: la main tendue au Commandeur, dans le dernier acte de Mozart. Non,
5
erra Nietzsche, cent ans plus tard, renouveler ce
défi
mortel. Mais quoi ! faut-il aller si haut ? La recherche « toute natu
6
autrement qu’on ne l’a fait jusqu’à lui. Il va de
défi
en défi, excité puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’adv
7
t qu’on ne l’a fait jusqu’à lui. Il va de défi en
défi
, excité puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’adversaire.
8
Commandeur ! Or Dieu se tait. Il ne relève pas le
défi
. Nietzsche attend dans la nuit désertique des hauteurs. Une aube vien
10
a mort ne sont-elles pas sœurs ?48 » Au comble du
défi
, Don Juan vient de surprendre la vérité secrète de son pire Adversair
11
à l’Éternel Revenant, au Père ! — dans un suprême
défi
, et pour sombrer. Et ce sera bientôt l’aveu presque posthume, le dern
12
dernier acte de Mozart, rachetant par cet ultime
défi
des lâchetés qui eussent déshonoré un véritable chevalier. Tristan, m
13
Et voici l’étonnant : toutes les voix relèvent ce
défi
, et chacune le reprend dans son registre ! Les trois Masques, Zerline
14
u bien la seule vraie liberté serait-elle dans le
défi
du Libertin à tout ce que le commun des hommes tient pour vrai, néces
15
x. Cette connaissance ne peut être obtenue par un
défi
à la morale courante, ni même par une révolte contre la Loi, à laquel
16
libérer par le changement de l’excitation, par le
défi
perpétuel aux attachements. C’est la liberté négative revendiquée par
17
antes. 1. Précaution de méthode dialectique. — Au
défi
de dogmes sublimes et qui prétendent transfigurer la vie concrète, l’