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donc du péché, plutôt que le signe positif d’une
filiation
divine…6 En revanche, les Églises chrétiennes, suivies jusqu’à nos j
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égatif, puisqu’il ne peut ici être question d’une
filiation
divine de Marie, d’une autre Incarnation que celle du Christ, ou ce s
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thique, ou de psychologie. L’Histoire constate la
filiation
des mythes, puis leurs retours, et enfin leur coexistence statistique
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égir telle d’entre elles, Tristan telle autre. La
filiation
des mythes ne pose guère de problèmes. La légende de Tristan date du
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le Livre de Job. Il serait curieux d’en suivre la
filiation
, jusqu’au Soulier de satin, de Claudel : ce serait une sorte de généa
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nale. Pas une seule fois. Mais constamment, de sa
filiation
céleste, aussi promise à ceux qui aiment, « car quiconque aime est né